Icône Evaluation de l’engrais 15-8-24 + 4 MgO de la société ICL pour la fertilisation de l’endive au forçage (23S1034) Télécharger
avril 2024 (466.28 KB)

Saison 2023-2024

But : 

Comparer une conduite de fertilisation au forçage avec l’engrais complet ICL PeKacide 15-8-24 + 4 Mg0 à la conduite de forçage APEF sans/avec phosphate et à la conduite avec un engrais complet de référence.

Conclusion : 

Aucune différence significative de rendements en chicons brut, net ou qualitatif Extra+I n’est mise en évidence entre la conduite avec solution nutritive ICL, les conduites APEF témoins sans ou avec phosphate, ou la conduite de référence avec l’engrais Soluveg. Seule une augmentation de longueur de chicon (+4-5 %) est relevée pour les 2 conduites en test par rapport aux témoins Apef, mais sans écart significatif de longueur relative d’axe. En conservation post-récolte, il ressort une baisse significative de sensibilité au rougissement pour les conduites ICL et Soluveg par rapport aux témoins. Un autre effet significatif montre une croissance de radicelles supérieure avec les solutions ICL ou Soluveg par rapport aux 2 témoins sans que cela ne puisse être relié à l’apport de phosphate. Enfin, nous n’observons pas de différence de Ph avec la solution ICL, contrairement à ce qui était attendu du fait de sa formulation « PeKacide ». Ces résultats sont à confirmer en période de forçage précoce.

Mots clés : Solution nutritive au forçage, engrais complet

Icône Gestion en eau au champ : besoin en eau en production précoce (23S0621) Télécharger
mars 2024 (466.28 KB)

Saison 2023-2024

But : 

Comparer l’effet de différentes périodes de restriction d’eau au cours de la phase végétative au champ de 2 variétés à cycle court ou long en production précoce.
Suivre l’évolution de l’humidité du sol à l’aide de sondes capacitives.

Conclusion : 

Les mesures des sondes capacitives sur ce sol de limon argileux (parcelle Arras n°2) évaluent une humidité à la capacité au champ (HCC) de 360 mm et un niveau bas de réserve facilement utilisable (RFU) d’environ 240 mm sur 90 cm, soit un réservoir utilisable (RU) de 120 mm.
Sous le climat de l’année culturale 2023 marqué par une fin de printemps sec suivi d’un été humide, la culture d’endive Témoin de cet essai (semis du 26 avril, arrachage du 16 octobre) a bénéficié d’une humidité du sol mesurée sur 90 cm (avec les sondes capacitives) de 306 mm en moyenne, variant selon la date de 248 à 374 mm, et d’une évapotranspiration réelle (ETR) moyenne de 2,27 mm par jour variant de 0,1 à 4,72 mm par jour.
Dans les 3 autres modalités testées, l’irrigation ou le stress hydrique sous abri en août ou septembre fait varier l’ETR de +3 %, -30 % et -20 % respectivement soit entre 230 et 308 mm cumulés sur la totalité du cycle. Cela correspond à une baisse de 20 à 40 % par rapport à l’évapotranspiration maximale (ETM de 380 mm) évaluée en case lysimétrique en condition d’alimentation hydrique non limitante.
A la récolte, les rendements en racines à la surface au champ sont reliés linéairement à l’ETR totale et varie de +16 % à -38 % en masse de racines forçables par rapport au témoin.
Les conséquences sur les rendements en chicons sont cependant moindres du fait d’une augmentation significative de la productivité brute pour les plantes ayant subies une période de stress hydrique sous abri. L’effet variétal est également significatif avec une plus faible sensibilité au stress pour Flexine dont les rendements varient de -7 % à +8 % par rapport à la modalité témoin contre -23 % à +22 % pour Darling.
Enfin, il ressort de cet essai que la contribution à l’alimentation en eau des plantes au champ varie de 58 à 63 % pour l’horizon 1, 16 à 27 % pour l’horizon 2 et 11 à 24 % pour l’horizon 3. La part non négligeable de ce dernier horizon ne tient pas compte des possibles remontés capillaires impossible à évaluer.

Mots clés :

Eau au champ, irrigation, sondes capacitives

Icône Gestion de l’eau au champ : Estimation des besoins en eau et du coefficient cultural Kc de l’endive (23S0618) Télécharger
janvier 2024 (466.28 KB)

Saison 2023-2024

But : 

Estimation des besoins en eau de l’endive dans des conditions de culture non limitantes en eau et éléments minéraux (cases lysimétriques) tout au long de la phase végétative pour estimer l’ETM (Evapotranspiration maximale) et le coefficient cultural Kc.

Conclusion : 

En condition d’alimentation hydrique non limitante (culture hors sol avec irrigation quotidienne indépendante de la pluviométrie), le bilan de consommation d’eau permet d’estimer l’évapotranspiration maximale (ETM) de l’endive à 380 mm sur la durée du cycle sous le climat de l’année 2023 du 1er juin au 13 novembre sans différence marquée entre les 2 variétés Darling (Hoquet) et Flexine (Vilmorin). Ces résultats sont en accord avec les valeurs hautes de l’estimation faite en 2008-2009 sous nutrition azotée élevée.
Cela correspond à environ 70 % de l’évapotranspiration potentielle de référence (ETP) qui s’élève à 545 mm sur cette même période, et varie en moyenne de 5,5 mm/j en juin à moins de 1 mm/j en novembre.
L’évapotranspiration quotidienne est en moyenne de 1,5-2,0 mm en juin, 2,2-3,0 mm en juillet, 2,7-4,5 mm d’août à début septembre, et diminue de 2,0 à moins de 0,5 mm de mi-septembre à la fin du cycle mi-novembre.
Elle est donc maximale autour de la fin août, soit au début de la tubérisation initiée en théorie vers 80-90 jours après le semis.
Le coefficient cultural (Kc = ETM/ETP) augmente linéairement pour passer en moyenne par décade de 0,3-0,4 en juin (stade 3-4 feuilles) à 1,1-1,2 fin août (stade 18-22 feuilles). Il diminue ensuite régulièrement pour atteindre 0,2 à la récolte début novembre alors que le nombre de feuilles est à son maximum. Le Kc est lié étroitement à la somme de température depuis le semis. Il est faible et constant jusqu’à 600°C cumulés, puis augmente linéairement jusqu’à son maximum à 1750°C avant de diminuer relativement lentement jusqu’à 2600°C puis rapidement jusqu’à 2800°C.
A la récolte, le rendement en racines entières extrapolé à l’hectare s’élève à 68,6 tonnes pour 300 000 plantes, dont 75 % forçables d’une masse moyenne (recoupée à 15 cm de longueur et sans collet) de 171 g.

Mots clés :

Eau au champ, irrigation, coefficient cultural

Icône Gestion de l’eau au champ : évaluation des sondes capacitives (23S0610) Télécharger
avril 2024 (466.28 KB)

Saison 2023-2024

But : 

Comparer les niveaux d’humidité réelle du sol après dessication à l’étuve aux mesures des sondes capacitives dans les différents horizons.

Conclusion : 

Les mesures des sondes capacitives de 60 et 90 cm faites sur la parcelle Arras n°2 dans le sol de limon argileux permettent une bonne estimation de l’humidité réelle mesurée après dessication de la terre à l’étuve.
La prise en compte de 32 couples de valeurs sur 38 (6 considérés hors gamme) aboutit à un coefficient de corrélation R2 entre les 2 séries de mesures de 0,88 (Le R2 reste élevé à 0,72 avec l’ensemble des données).

L’équation linéaire s’écrit :
• Pour l’humidité massique Hm
Hm (%Terre sèche) = 0.519 [Valeur sonde en mm] + 1.662

• Pour l’humidité volumique Hv calculée avec une densité apparente moyenne de 1.4
Hv (%Terre sèche) =0.726 [Valeur sonde en mm] + 2.327

Dans nos conditions d’essais, la précision des mesures s’est avérée élevée dans l’horizon 1 entre 0-30 cm (R2 = 0,75), très élevée dans l’horizon 2 entre 30-60 cm (R2 = 0,93), et moyenne dans l’horizon 3 60-90 cm (R2 = 0,59).
L’estimation de l’HCC (humidité à la capacité au champ), du RU (réservoir utilisable) et du bas de RFU (réservoir facilement utilisable) par la lecture des courbes d’évolution des mesures de sondes donnent des valeurs également proches de celles calculées à partir des analyses physico chimiques du type de sol, densités apparentes mesurées par nos soins, et base de données pf (potentiel hydrique ou force de succion).
Les sondes capacitives Sentek (Agralis) semblent donc être des OAD fiables pour le suivi de l’alimentation hydrique des plantes et, le cas échéant le déclenchement d’irrigation.

Mots clés : Eau au champ, sondes capacitives, irrigation

Icône Caractérisation du métabolisme azoté des nouvelles variétés de diversification (23C9810) Télécharger
décembre 2024 (293.67 KB)

Saison 2023-2024

But : 

Classement des hybrides de Carmine® codés CR16 et CR24 en 2ème année d’essai et Barbucine® BC320 vis-à-vis de leur métabolisme azoté

Conclusion : 

Le métabolisme azoté des 2 hybrides de Carmine® CR16 et CR24 et de la Barbucine® BC320 a été comparé à celui des références, Béguine (Vilmorin) référence « Sensible à Tolérante » à l’azote, Darling (Hoquet) référence Tolérante, Flexine (Vilmorin) référence « Préférante » et Sweetlady (Hoquet) référence « Tolérante à Préférante » à l’azote.
Le classement des nouveaux hybrides a été obtenu à partir de 7 critères ayant permis de distinguer les références en 3 groupes statistiques distincts.
A noter que dans les conditions de cette année, Flexine se classe comme tolérante à l’azote, et confirme un comportement différent également observé dans le réseau variétal transnational.
CR16 et CR24 se classent comme en 2022 en type Tolérant à Préférant non différents de Sweetlady mais différents de Béguine et Darling.
BC320 confirme un comportement moins exigeant en azote que B18 et se classe en type Tolérant, relativement proche de celui de 2021 (Sensible/Tolérant).

Résumé :

Le métabolisme azoté des 2 hybrides de Carmine® CR16 et CR24 et de la Barbucine® BC320 a été comparé à celui des références, Béguine (Vilmorin) référence « Sensible à Tolérante » à l’azote, Darling (Hoquet) référence Tolérante, Flexine (Vilmorin) référence « Préférante » et Sweetlady (Hoquet) référence « Tolérante à Préférante » à l’azote.
CR16 et CR24 se classent comme en 2022 en type Tolérant à Préférant en azote au champ, non différents de Sweetlady mais différents de Béguine et Darling.
BC320 confirme un comportement moins exigeant en azote que B18 et se classe en type Tolérant, relativement proche de celui de 2021 (Sensible/Tolérant).

Mots clés : Carmine®, Barbucine®, besoin en azote

Icône Évaluation de l’efficacité de la formulation Viballa®en désherbage post-levée de l’endive (23D0131) Télécharger
mai 2024 (505,01 KB)

Saison 2023-2024

But : 

Évaluer l’efficacité de la formulation Viballa® en désherbage post-levée de l’endive.

Conclusion : 

Cet essai confirme l’intérêt de la formulation Viballa® pour lutter contre les chénopodes. Cet herbicide employé seul doit être utilisé à la dose cumulée minimale de 0,75 L/ha. Avec 4 applications de 0,25 L/ha à partir du stade cotylédon (et un intervalle de 7 à 12 jours entre chaque traitement), l’efficacité atteint 93 % (2 chénopodes/m² contre 32 dans les témoins) et la masse totale des plantes adventices est quasiment divisée par 1000 (15 g contre 1400). La réduction de la dose unitaire à 0,8 L/ha (4 x 0,20 L/ha) assure le même niveau d’efficacité, de même que la diminution de dose à 0,125 L/ha lors du premier passage. Cette efficacité s’accompagne toutefois d’une baisse de la vigueur des endives d’environ 25 % par rapport au témoin et de 10-15 % par rapport à la référence à base de Safari® et de Boa®. On observe également des déformations foliaires, principalement sur la variété Darling. La notation de ces symptômes a fait par ailleurs l’objet d’une évaluation variétale spécifique, elle n’est pas analysée dans cet essai.

En cas de cumul de dose totale dépassant 0,750 L/ha, le positionnement et la dose de la première application restent à valider pour un compromis efficacité/sélectivité. Il ne semble pas nécessaire d’employer viballa® à 0,250 L/ha dès le stade cotylédon, la dose de 0,125 l/ha procurant alors la même efficacité.

Mots clés : désherbage, efficacité, post-levée, Viballa®

Icône Quantification de Thielaviopsis basicola dans le sol par PCR en vue d’établir une prévision du risque infectieux de la parcelle (23P2418) Télécharger
juin 2024 (431.58 KB)

Saison 2023-2024

But : 

Vérifier la possibilité de détection de Thielaviopsis basicola dans le sol par qPCR à partir d’échantillons inoculés avec des suspensions calibrées de spores.

Vérifier la correspondance entre la détection de T. basicola dans le sol, sa présence éventuelle dans les plantes cultivées et l’intensité des symptômes selon la pression parasitaire.

Résumé : 

Cette expérimentation montre que la détection par qPCR dans le sol est possible et bien corrélée à la quantité d’inoculum présent.

Le seuil de détection se situe autour de 60 spores/g de sol, il doit être confirmé par une nouvelle série d’essais en « encadrant » cette valeur par des dilutions d’inoculum intermédiaires (ex : 104 / 3x103 / 103/ 3x102/ 10spores/ml) pour disposer de plus de données entre 6 et 60 spores/g de sol.

Ce seuil de 60 spores/ml est supérieur au seuil de nuisibilité de la maladie qui semble très bas, puisque la maladie se déclare avec moins de 6 spores/g dans cet essai.

Toutefois, les symptômes les plus graves sont obtenus avec des inoculum plus élevés : forte réduction de croissance et minorité de plantes sans symptôme au-delà de 600 spores/g (inoculum de 104 spores/ml). Dans le cadre d’une prévision du risque et d’un conseil agricole, la détection de T.basicola dans ces conditions pourrait conduire à ne pas implanter de culture de l’endive.

Les données confirment également la possibilité de détection de T.basicola par PCR « classique » à partir d’échantillons de plantes, pour confirmer le diagnostic visuel.

La suite du projet devrait consister en :

-    valider le seuil de détection dans le sol,

-    faire un état des lieux de la situation des sols de la région Hauts-de-France (campagne de prélèvements et de détection) vis-à-vis de la présence de T. basicola,

-    vérifier le « pouvoir infectieux » de quelques sols avec détection et sans détection de l’agent pathogène,

-    évaluer le potentiel de quelques champignons antagonistes sur la survie de T.basicola dans le sol.

Mots clés : Thielaviopsis, détection, PCR

Icône Effet des bandes fleuries sur la nutrition de Thaumatomyia spp (23P3420) Télécharger
juin 2024 (426.16 KB)

Saison 2023-2024

But : 

Définir les espèces florales favorables au maintien de Thaumatomyia spp. adultes aux alentours des parcelles d’endives afin d’optimiser la capacité prédatrice des larves sur P. bursarius

Résumé : 

Ces essais mettent en évidence que Thaumatomyia spp. au stade adulte se nourrit de pollens de familles de plantes dont les fleurs ne sont pas profondes : Brassicacées, Astéracées, Chénopodiacées et Apiacées. Les individus adultes sont attirés par les fleurs de couleur jaune ou blanche. La nécessité d’implanter des bandes fleuries pour les attirer et les maintenir à proximité des parcelles en vue d’améliorer la lutte contre Pemphigus bursarius reste à démontrer. En effet, Thaumatomyia spp. se nourrit également de pollens d’espèces spontanées en bord de champ.

Mots clés : puceron, lutte alternative, macro organisme

Icône Evaluation de la sélectivité des formulations Avadex® Factor, GWN12129(*) et GWN12017(*) appliquées avant semis (23D0112) Télécharger
avril 2024 (0.00 KB)

Saison 2023-2024

But :

Déterminer la sélectivité des formulations Avadex® Factor, GWN12129(*) et GWN12017(*) sur la culture de l’endive. Les produits sont appliqués en pré-semis de l’endive. Comparaison à un témoin non traité.

(*) spécialités non homologuées à date

Résumé :

Non diffusable (essai BPE, confidentiel).

Mots clés : désherbage, sélectivité, pré-semis, Avadex® Factor

Icône Evaluation des formulations Admiral® pro, Benevia® et Teppeki® pour réduire les populations de Pemphigus bursarius sur endive (23P3419) Télécharger
juin 2024 (335.62 KB)

Saison 2023-2024

But :

Evaluer l’efficacité de formulations insecticides pour lutter contre Pemphigus bursarius. AI2301, Benevia® et AI701 sont comparées à un témoin non traité et à la référence Movento®.

Résumé :

Ces différentes expérimentations confirment l’efficacité de l’insecticide Movento® (2 x 750 ml/ha) sur Pemphigus bursarius (jusqu’à 87 % de réduction du nombre d’individus par plante). Dans les mêmes conditions, Benevia® (2 x 750 ml/ha) ou AI2301 (2 x 500 ml/ha) ne permettent pas de contrôler les populations de ce puceron. Pour cette dernière spécialité, il subsiste un doute sur l’intérêt potentiel en application pendant le vol (contrôle satisfaisant dans 2 répétitions sur 3). Par contre, une fois les aptères installés, l’insecticide n’est plus efficace contre le ravageur. Il pourrait être expérimenté de nouveau, bien que ces données montrent que son emploi serait très dépendant de la date de vol des Pemphigus ailés. AI701 employé à 140 g/ha ne semble pas présenter d’efficacité en application tardive (aptères présents sur le collet). Ces résultats viennent compléter les données connues sur ce produit contre ce ravageur de l’endive (pas d’efficacité en applications foliaires également). Benevia® a reçu une dérogation d’emploi contre la mouche de l’endive du 3 juin au 1er octobre 2023.

Mots clés : puceron, lutte insecticide

Icône Evaluation des formulations GA551 et GA561 pour réduire les populations de Pemphigus bursarius sur endive (23P3410) Télécharger
juin 2024 (483.37 KB)

Saison 2023-2024

But :

Evaluer différentes préparations minérales ou à base d’extraits de plante sur l’évolution de la présence de Pemphigus bursarius au cours de l’été.

Résumé :

En serre et en conteneurs, GA561 appliqué sur le substrat en cours de vol ou avant la contamination par des aptères a réduit de 58 % la proportion d’endives contaminées et de 63 % le nombre de pucerons sur les plantes. Sur des parcelles en conditions de production, l’association GA551+GA561 n’a eu aucun effet sur le pourcentage de plantes avec pucerons mais à Carvin les applications de GA551 ont sans doute été trop tardives par rapport au vol de contamination par les ailés. A Chaulnes, la même association appliquée en cours de vol a réduit de 50 % la proportion de plantes infestées par P. bursarius. Ce niveau d’efficacité concorde avec les données obtenues en conditions « contrôlées » (serre ou conteneurs en 2023 et 2024).

Mots clés : puceron des racines, lutte alternative